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dc.contributor.authorSimpara, Amadou
dc.date.accessioned2024-09-20T13:54:27Z
dc.date.available2024-09-20T13:54:27Z
dc.date.issued2016
dc.identifier.other16-M-196
dc.identifier.urihttp://univ.jannde.ml/handle/123456789/616
dc.description.abstractNotre étude a portée sur 7113 patientes reçues en consultation dans le service de gynécologie de l'hôpital du Mali parmi lesquelles 42 étaient admises pour agression sexuelle soit une fréquence de 0,59Yo. Notre fréquence de 0,5902 est comparable à celle de N'guessan [15 | en Côte d'Ivoire qui a été de 0,68%, mais supérieur à celui de FAYE DME [17] au Sénégal en 2005 qui avait trotlé O,4Yo, par contre il est inférieur à ceux des auteurs suivants : Traoré AM [10 ] au MALI en 2001, qui avait trouvé 2,4%o ,l'oryanisation KAY FANM en Hai'ti a enregistré en 2007 et 2008 respectivement l5o et l4o de cas d'agression sexuelle [18]. Notre taux faible pourait s'expliquer par notre lieu d'étude qui est un nouveau hôpital et loin du centre ville ainsi qu'a la pudeur qui entoure le sexe dans nos coutumes amenant les parents à moins consulter les services de santé et les autorités judiciaires.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.subjectépidemio-clinique, agressions, sexuelles, gynécologie, hopital, Malifr_FR
dc.titleAspects épidemio-clinique et judiciaire des agressions sexuelles dans le service de génycologie de l'hopital du Malifr_FR
dc.typeThesisfr_FR


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